Description
Le droit français, au regard du principe de réparation intégrale du préjudice, reconnaît la perte de chance comme composante à part entière du préjudice réparable, au même titre que les pertes subies ou les gains manqués.
C’est une matière sophistiquée, car elle comporte l’appréciation de l’aléa, la « chance » perdue, conduisant à ce que les éléments techniques calculatoires du gain manqué ou des pertes subies ne peuvent être retenus à 100%.